Centenaire de la traversée de la méditerranée en avion

Garros a fait décoller son « Morane », boussole en main, alourdi alors de 200 litres d’essence et de 60 litres d’huile de ricin, et le posera presque huit heures plus tard avec seulement 5 litres restant dans le réservoir. L’homme aura dû faire face à deux pannes, la première au large de la Corse et la seconde au dessus de la Sardaigne.
Seulement quatre ans après la traversée de la Manche par un autre français, Louis Blériot, et la révolution dans le domaine de l’aviation qui s’en suivit, Roland Garros a continué d’ouvrir la voie.
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