Première guerre mondiale. Année 1914

La guerre est déclarée, le bombardement de Belgrade est décidé par l’état major austro hongrois. Les 30 et 31 juillet la Russie, l’Autriche Hongrie et la Belgique procèdent à une mobilisation générale. Le 31, Jean Jaurès, leader socialiste français favorable à la paix est assassiné par Raoul Vilain. L’acte funeste met un terme aux vaines tentatives d’enrayer une guerre, le glas a retenti, place au tocsin.

Les forces en présence sont équilibrées. D’un côté la triple alliance (ou triplice), composée de l’Allemagne, l’empire Austro Hongrois et le royaume d’Italie. De l’autre, la triple entente, alliance de la France, du Royaume Uni et de la Russie impériale.
Le 6 août, l’Autriche Hongrie déclare la guerre à la Russie. Le 12, la France déclare la guerre à l’Autriche Hongrie. Deux jours après, la bataille de Morhange, la première des batailles franco allemandes est engagée en Lorraine. La guerre des frontières est déclenchée. La bataille de Morhange se soldera par une victoire allemande.
En Belgique, les troupes allemandes s’emparent de Liège et le 19 août, elles rentrent dans Bruxelles. De l’autre côté de l’Atlantique, Woodrow Wilson, alors président des Etats Unis, proclame la neutralité de son pays dans le conflit. Après l’échec de la percée en Lorraine, la France perd la bataille des frontières. Les troupes françaises sont contraintes de se replier des Ardennes, de Sambre et de Morhange le 21 août. Le lendemain, les troupes allemandes pénètrent dans Tamines, ville belge en région Wallonne, ravagent et pillent la ville et exécutent les civils, sans somation.
Le 22 août, la grande retraite commence. Les forces alliées reculent de la Marne sur le front Ouest, après leurs défaites consécutives contre l’empire allemand.
Le 25 août, la bataille de Lorraine se finit par un statu quo. Le général Gallieni est nommé gouverneur de Paris. Le lendemain le gouvernement quitte Paris pour Bordeaux. Le premier siège sur le sol français fait rage, le siège de Maubeuge a éclaté et se terminera quelques dix jours plus tard par la capitulation de la ville.
En Belgique, les troupes allemandes s’emparent de Liège et le 19 août, elles rentrent dans Bruxelles. De l’autre côté de l’Atlantique, Woodrow Wilson, alors président des Etats Unis, proclame la neutralité de son pays dans le conflit. Après l’échec de la percée en Lorraine, la France perd la bataille des frontières. Les troupes françaises sont contraintes de se replier des Ardennes, de Sambre et de Morhange le 21 août. Le lendemain, les troupes allemandes pénètrent dans Tamines, ville belge en région Wallonne, ravagent et pillent la ville et exécutent les civils, sans somation.
Le 22 août, la grande retraite commence. Les forces alliées reculent de la Marne sur le front Ouest, après leurs défaites consécutives contre l’empire allemand.
Le 25 août, la bataille de Lorraine se finit par un statu quo. Le général Gallieni est nommé gouverneur de Paris. Le lendemain le gouvernement quitte Paris pour Bordeaux. Le premier siège sur le sol français fait rage, le siège de Maubeuge a éclaté et se terminera quelques dix jours plus tard par la capitulation de la ville.

Les troupes allemandes gagnent du terrain, elles battent les colonnes russes en Pologne, au lacs Mazuriques, avant de se retirer jusqu’à l’Aine, la Vesle et la Suippe. Le 28 septembre les troupes assiègent Anvers.
Le 1 octobre, les troupes françaises tentent de déborder les allemands à la bataille d’Arras, pour les empêcher d’atteindre la manche. La course à la mer débute, les allemands tentant de rejoindre Dunkerque. Le 3 octobre, un bataillon de 32 000 soldats canadiens est mobilisé en Europe.
Le 2 novembre, la Serbie déclare la guerre à l’empire ottoman. Le 8 décembre, le gouvernement français retourne à Paris.

Le cesser le feu ne sera pourtant qu’éphémère et après une semaine, les combats reprendront de plus belle.