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La plus vivante des encyclopédies universelles


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GENERMONT Marcel (13/04/1891-01/06/1983) Actif : 1943

Marcel Génermont, né à Moulins est un architecte et érudit bourbonnais, qui collabore occasionnellement à L’Illustration. Après avoir participé à la Première Guerre mondiale, il ouvre un cabinet d’architecture à Moulins qu’il dirige pendant un demi-siècle. Il est nommé architecte en chef des monuments historiques de l’Allier en 1925 et, à ce titre, il supervise de nombreux chantiers de restauration.
De 1947 à 1961, il est architecte des bâtiments de France pour l’Allier et la Nièvre. Passionné par l’histoire bourbonnaise, il publie une centaine d’ouvrages et de plaquettes sur ce thème, depuis Jacquemart, doyen des Moulinois (1932) et Les monuments historiques de l’Allier (1934), jusqu’à Souvigny, Saint-Denis des Bourbons (1960) et Le Bourbonnais, douce province au cœur de la France (1974).
Il fonde et dirige, de 1957 jusqu’à son décès, la revue trimestrielle et maison d’édition Les Cahiers bourbonnais. Il préside de 1945 à 1975 la Société d’émulation du Bourbonnais, société savante fondée en 1845.

Dès 1907, il suit les travaux du congrès d’esperanto pour lequel il glane des informations adressées à L’Illustration. Trente six plus tard, le 26 juin 1943, il rédige un article sur un de ses thèmes de prédilection, "Un Saint-Denis bourbonnais, la nécropole de Souvigny", qu’il signe « Marcel Génermont, architecte des monuments historiques et historien bourbonnais ».

GEOFFROY Edgar de. Actif : 1912-1939

Le nom d’Edgar de Geoffroy, ingénieur naval de formation, est attaché à ceux de Charles Dollfus et de Baudry de Saunier, dans la réalisation de la série des "Grandes Histoires" publiées par L’Illustration, dans les années 1930. Il est un des principaux contributeurs pour les deux tomes de L’Histoire de la locomotion terrestre - Tome 1 : Les chemins de fer ; Tome 2 : La voiture, le cycle, l’automobile. Dans ce dernier volume, il est l’auteur des trois premiers chapitres. On retrouve son nom dans L’Illustration dès les années 1910, avec un article sur "Le naufrage du Titanic" (1912). Il participe aussi à la publication de numéros spéciaux, comme celui de l’exposition universelle de Bruxelles.
Parmi ses autres travaux, on peut mentionner Les Catastrophes maritimes et la conférence de Londres (1914), La Naissance des vagues, leur propagation et leur puissance (1914), Pour bien comprendre la T.S.F. (1928) et Le Centenaire de la navigation à vapeur (1929). Il collabore également à la revue Sciences et vie.

Dates de naissance et de décès non connues.

GERMAIN-MARTIN Louis (07/11/1872-04/10/1948) Actif : 1942

Louis-Germain Martin, dit Germain-Martin, né au Puy-en-Velay, (Haute-Loire) est un homme politique français. Son père est architecte. Il fait des études à l’Ecole nationale des chartes et à la Faculté de droit de Paris. Archiviste-paléographe, il est agrégé de droit et docteur en sciences politiques. Il commence sa carrière comme secrétaire général du Musée social (1897-1900). Il est ensuite conférencier de l'Alliance française aux États-Unis (1900), maître de conférences à la faculté de droit de Paris (1900-1903), et professeur de droit aux facultés de Dijon, de Montpellier, de Paris (1919), à l'École des hautes études commerciales et à l'École libre des sciences politiques.
Chargé de mission par le ministre des affaires étrangères, il effectue de 1910 à 1925 de nombreux voyages aux Etats-Unis, au Canada, en Égypte, en Chine et au Brésil. D’abord proche des radicaux, avant de rejoindre les conservateurs modérés, il entame une carrière politique en se faisant élire député radical indépendant de l'Hérault de 1928 à 1936.

Entre 1930 et 1935, il occupe différentes fonctions ministérielles, notamment du budget et surtout, des finances, à quatre reprises, dans les gouvernement Steeg (mars - décembre 1930), Herriot (juin - décembre 1932) et Doumergue puis Flandin (février 1934 - juin 1935). Il est alors considéré comme un des promoteurs de la politique déflationniste avec la réduction du montant des pensions à 50% du traitement d'activité, la chasse aux cumuls de rémunération, la généralisation et l'augmentation du prélèvement sur les traitements des fonctionnaires et l'institution d'une retenue de 3% sur les pensions de guerre et la retraite du combattant. Elu membre de l'Académie des sciences morales et politiques en 1927, il est sous l'Occupation, membre du Conseil national instauré par l’Etat français.

Dans L’Illustration, il publie un article intitulé "A l’Institut de France, les grands commis et l’Etat" (7 novembre 1942), texte de la communication qu’il avait présentée le 19 octobre, à l’occasion de la séance annuelle de l’Institut.

GERMOZ Christian. Actif : 1942-1943

Collaborateur occasionnel de L’Illustration, on lui doit deux articles publiés en 1943 : "La Suédoise et nous" (24 juillet) et "Le ravitaillement des prisonniers" (7 août). Il est l’auteur d’un roman, La grand route (1947) et il a traduit et adapté de l’italien un roman d’Alfredo Panzini, La vie des aliments.

Dates de naissance et de décès non connues.

GIGNOUX Régis. (1878-1931)

Régis Gignoux, né en 1878 à Lyon, s’installé à Paris peu avant 1910. Il débute sa carrière journalistique comme chroniqueur et critique dramatique dans différents journaux : Paris Journal, Comoedia, Le Figaro. Pendant quelques années, il collabore à L’Illustration qui publie la plupart de ses pièces de théâtre dans son supplément théâtral : Vive Boulbasse !, L’appel du clown, Le monde renversé, Le cheval de cirque et Le prof d’anglais, joué peu avant son décès au théâtre des Champs-Elysées.
Il est également l’auteur de plusieurs romans, dont un écrit en collaboration avec Roland Dorgelès.

L’Illustration (21 novembre 1931) salue sa mémoire en notant que « D’une vaste culture, il alliait à une ironie souriante une rare distinction d’esprit ». L’hebdomadaire loue « la compréhension de son intelligence, la loyauté de son caractère, la fidélité de son amitié et une sensibilité qui, en affectant parfois de se cacher, n’en était que plus vive ».

Régis Gignoux est décédé à Paris, le 7 novembre 1931.

GODET René Actif : 1943

Collaborateur occasionnel de L’Illustration, il publie dans le numéro du 23 janvier 1943 un article intitulé "Où en est la question des allumettes ?"

Dates de naissance et de décès non connues.

GOHIER Urbain (17/12/1862-29/06/1951) Actif : 1902

Urbain Gohier, Urbain Degoulet pour l’état civil, est né à Versailles. Orphelin de bonne heure, il est recueilli par M. Gohier qui lui donne son nom. Après des études brillantes au collège Stanislas, où il a pour condisciple Marcel Sembat. Il décroche une licence en lettres, en histoire et en droit et est lauréat du Concours général plusieurs fois. Au début des années 1880, il s’engage dans la cavalerie pour accomplir son service militaire. De ce bref passage à l’armée, il garde un mauvais souvenir, suffisamment pour alimenter son livre A bas la caserne !. Bien que sa carrière l’oriente vers le droit, puisqu’il est avocat, il donne des articles au Soleil (journal conservateur), au Figaro, à L’Aurore, dont il deviendra, avec Georges Clemenceau, le principal collaborateur, sous la direction d’Ernest Vaughan et au Matin, avant 1910.

Il collabore épisodiquement à L’Illustration et on trouve quelques uns de ses articles dans des journaux londoniens, new-yorkais ou viennois, avant 1914. Son antimilitarisme lui fait épouser la cause du capitaine Dreyfus, au moment de l’affaire. Il écrit alors des articles contre l’armée et contre l’église, lesquels sont réunis dans deux livres : L’armée contre la nation et Les prétoriens et la congrégation. Après la vente de l’Aurore, Gohier se retrouve sans travail et sans tribune. Il rompt totalement avec ses anciens amis dreyfusards et il tente alors de lancer un petit hebdomadaire, Le Vieux Cordelier, qui ne tiendra que le temps de six numéros.
Le Droit du peuple lui propose un emploi à Grenoble, avant qu’il ne regagne Paris pour écrire dans Le Cri de Paris en 1904. Après quelques démêlées avec la justice qui lui reproche ses écrits antimilitaristes passés, Urbain Gohier poursuit sa carrière au Matin (1906) à l’Intransigeant en 1907 puis à la Libre parole, le journal antisémite que dirige Edouard Drumont, en 1909. Dès cette époque, Jules Bertaut porte un regard sévère sur lui, dans un livre publié en 1906, Chroniqueurs et polémistes: « Lui-même doit avoir conscience, par instants, du vide de son imagination, de la détresse où elle va le plonger. Comme un désespéré qui se noie, il se raccroche à toutes les branches du salut, il essaie, les uns après les autres, tous les moyens connus d’exciter cette imagination rebelle, de la fustiger, de la contraindre à lui procurer, sinon des idées neuves, des épithètes pas trop usées, des mots pas trop poncifs, des clichés pas trop connus du secrétaire de rédaction ».

Pendant la Première Guerre mondiale, il est au côté de Gustave Téry qui dirige L’œuvre. Avec Jean Drault, il fonde en 1917 L’œuvre française qui sera transformée en La Vieille France et réussira à paraître jusqu’en 1924. Le journal draine ses lecteurs principalement dans la mouvance nationaliste, antirépublicaine, voire antisémite. C’est lui qui se chargera, en 1920, de la publication en France du Protocole des Sages de Sion, le fameux faux antisémite, fabriqué par la police tsariste avant guerre. Dans les années 1920, il travaille pour Le Figaro, devenu la propriété du parfumeur François Coty, ainsi que pour son autre journal, L’ami du peuple et La Nouvelle Aurore. A la mort de ce dernier, Urbain Gohier donne encore quelques articles à des feuilles telles que Le Réveil des peuples de Jean Boissel ou La Libre parole d’Henry Coston, « professionnel de l’antisémitisme ».

A soixante-dix ans passés, il se retire chez sa sœur, à Saint-Satur, dans le Cher. Au soir de sa carrière, il prétend avoir écrit pas moins de quatre mille articles. Il accepte toutefois de revenir à Paris, sous l’Occupation, en 1942-43, à la demande de Jean Drault. Il donne alors des articles à des journaux particulièrement engagés dans l’antisémitisme, comme Au Pilori, un des hebdomadaires les plus abjects de la Collaboration, en pointe dans la dénonciation des juifs dans ses colonnes. Il écrit aussi dans La France socialiste, que dirigent Georges Daudet et René Sève. Réfugié à nouveau dans le Cher, il est poursuivi par la justice à la Libération et condamné.

Urbain Gohier, qui avait écrit de nombreux livres, est décédé le 29 juin 1951 à Saint-Satur, « dernier représentant de la vieille génération des antisémites de plume ».

A consulter : Pierre-André Targuieff (sous la direction de) : L’antisémitisme de plume : 1940-1944, études et documents, notamment l’article de Grégoire Kauffmann sur Urbain Gohier (éditions Berg International, 618 p, 1999).

GRAPPE Georges (01/07/1879-26/04/1947) Actif : 1940-1943]b

Georges Grappe est critique littéraire et artistique et il est conservateur du musée Auguste-Rodin, de 1925 à 1944. Collaborateur occasionnel de L’Illustration, il publie un article en 1943, "Souvenirs sur Jacques-Emile Blanche", avec trois peintures reproduites en couleur (20 novembre). Il est l’auteur de plusieurs monographies sur les grands peintres (Goya, Vélasquez, Degas, Monet, El Greco) et de très nombreux titres sur des thèmes artistiques et littéraires. Il traduit de l’anglais des ouvrages artistiques.

Sous l’Occupation, Georges Grappe est un membre influent du groupe Collaboration et, à l’occasion de la clôture de la rétrospective Arno Breker, présenté au musée de l’Orangerie en mai 1942, il rassemble plus de deux cents personnes dans de grands restaurants parisiens, dont « un dîner d’adieu » présidé par Fernand de Brinon.

GROSCLAUDE Etienne (1858-1932) Actif : 1885-1895 et après 1920

Etienne Grosclaude, dit Grosclaude, est né à Paris en 1858. Après avoir envisagé une carrière dans la médecine, il opte précocement pour l’écriture et le journalisme, point de départ d’un parcours d’un demi-siècle, durant lequel il aura « répandu sa verve informée et sa bonne humeur, hérissée de « mots » dans les salons, les cercles, les salles de rédaction, peut-on lire dans sa nécrologie (L’Illustration, 23 janvier 1932). Et le rédacteur d’ajouter : « Il était une vivante gazette qui se détachait avec élégance du marbre et de la mise en page, pour se prodiguer dans les cafés à la mode, dans les dîners et dans les salons ».

Grosclaude collabore à plusieurs journaux, en commençant en 1883 par Grimaces, la revue fondée par Octave Mirbeau : « Il débutait comme auteur gai, et jamais gaieté ne fut plus débridée, plus déchaînée plus terrible. Plaisanteries, calembours, coq à l’âne, tout roulait dans ces charges menées à fond de train, d’un effet prodigieux », rappelle Raymond Recouly (L’Illustration, 6 août 1921).

Il rejoint ensuite le Gil Blas, Le Figaro et L’Illustration où il fait équipe avec Caran d’Ache, pour le coup de crayon. Le duo s’illustre notamment au moment de l’affaire Boulanger, avec la publication du Boulangeorama, en 1889. Lucien Marc laisse libre cours à leur talent et à leur travail de sape contre le général : « Les deux compères, maîtres de la satire la plus drôle et la plus fine grâce au graphisme remarquable du premier et à l’esprit frondeur du second, ne s’abaissent jamais à une grossièreté ou à une polémique incompatibles avec la tenue de L’Illustration », note Jean-Noël Marchandiau. Ils pondent un véritable chef d’œuvre, le Boulangeorama, deux pages de caricatures sur la vie du général, à la manières des peintres de l’époque, en s’inspirant de la présentation traditionnelle du salon ».

En 1886, Grosclaude publie son tout premier ouvrage, Les gaietés de l’année, et reçoit l’approbation de l’austère Jules Lemaître, « censeur déridé qu’amusa le jeu ». Volontiers « rieur et railleur », Grosclaude est aussi un spectateur des grands événements, qu’il entend bien suivre de près. Pour ce faire, il accompagne en 1896 le général Galliéni dans son expédition de Madagascar, au plus mauvais moment de la révolte indigène. De cette mission, il rapportera un livre Un Parisien à Madagascar. Peut-être faut-il y voir l’explication de quelques-uns de ses thèmes comme « L’éléphant d’Afrique : manière de s’en servir », inséré avec des illustrations de Caran d’Ache dans le numéro de Noël 1898, daté du 3 décembre 1898. Il aura l’occasion de retourner dans la grande île et en 1900, il est nommé délégué général de la colonie à l’Exposition universelle de 1900.

Les grands voyages en Afrique du sud, aux Etats-Unis occupent alors une part importante de sa vie, tout comme les grandes affaires. Au Transvaal, face à Cecil Rhodes, il s’efforce de soutenir l’industrie française. Dans ces négociations, selon Raymond Recouly, « il déploie une inlassable énergie, l’amour de la lutte que les difficultés et les obstacles ne font que surexciter, et en même temps, ses qualités de doigté, de diplomatie, de tact, sa connaissance approfondie des hommes, ses dons de séduction qui sont en lui ». De même, il appuie la Ligue maritime qui milite en faveur de la reconstitution de la marine. Du « lobbying » avant l’heure. La politique l’intéresse encore et il se rapproche pendant quelque temps de la Ligue de la patrie française fondée par Paul Déroulède, « ne donnant toutefois à la politique qu’une ardeur tempérée de bon sens et de dilettantisme ».

Pendant la Première Guerre mondiale, ses relations à Londres ou à New York lui permettent de mener plusieurs missions à la demande du gouvernement français. Il en rapporte à chaque fois des observations utiles, mâtinées de notes légères. Grosclaude est capable de disserter de la très sérieuse question du charbon américain, devant un parterre d’hommes d’affaires réunis par l’Union du commerce et de l’industrie, « avec une admirable clarté, exposant tous les aspects du problème ».
Dans les années 1920, il renoue avec L’Illustration, mais semble-t-il avec un peu moins de verve. En 1923, il publie La machine ronde a perdu la boule, une sélection de ses articles les plus marquants publiés dans Le Figaro, Le Gaulois, L’Echo de Paris ou La Liberté. Dans cette somme d’informations et de réflexions sur le monde de l’époque, l’extravagance du propos ne masque pas les réalités. En 1931, son ultime livre, Les mémoires d’outre bombe, dresse un portrait des vieux Parisiens, tout en faisant le lien entre temps nouveaux et époques anciennes. Les événement liés à la guerre, tout autant que la périlleuse question de l’après-guerre y ont toute leur place. A la même époque il essait de relancer La République française qui parvient à survivre durant quelques années.

En janvier 1932, Grosclaude « a disparu soudainement, doucement, en pleine vie, sans s’apercevoir qu’il ne réaliserait point son rêve de finir centenaire ».

GHEUSI Pierre-Barthélémy (21/11/1865-30/01/1943) Actif : 1942

Romancier, historien, auteur dramatique, librettiste et mémorialiste, après avoir été avocat, Pierre-Barthélémy Gheusi est né à Toulouse. Il est également directeur de l'Opéra Comique à Paris. Pour L’Illustration, à laquelle il collabore sous l’Occupation, il évoque "Cinquante ans de Paris : le vieil Opéra" (4 avril 1942). Auteur de plusieurs ouvrages, il laisse des mémoires sous le titre Cinquante ans de Paris, mémoires d'un témoin, 1892-1942.

GSELL Paul (24/01/1870-1947) Actif : 1895-1940

Paul Gsell, né à Meudon, collabore à L’Illustration dans les années 1890-1910. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés à Auguste Rodin (Auguste Rodin. L'Art : entretiens réunis par Paul Gsell) et à Anatole France (Propos d'Anatole France recueillis par Paul Gsell). On lui doit aussi des études sur le théâtre (Le théâtre soviétique). Paul Gsell est décédé à Saint-Rémy-de-Chevreuse.

GUIART Jules Actif : 1943

Collaborateur occasionnel de L’Illustration, le docteur Jules Guiart, alors « professeur honoraire à l’université de Lyon » publie le 17 juillet 1943 un article intitulé "Les œuvres d’art normandes en Sicile vont-elles disparaître ?"

Dates de naissance et de décès non connues.

Jean Paul Perrin