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La plus vivante des encyclopédies universelles


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TARDIEU André (22/11/1876-15/09/1945) Actif : 1921-1939

André Tardieu est né à Paris. Après de brillantes études au lycée Condorcet, il renonce à l’Ecole Normale supérieure, bien qu’il soit classé premier au concours d’entrée. Il semble vouloir opter pour la diplomatie en intégrant, par concours, le ministère des affaires étrangères. Après être entré au Figaro en 1901, il est de 1903 à 1914 journaliste au journal Le Temps, pour lequel il rédige le "Bulletin de l’étranger" qui donne chaque jour, à la une, le ton. Très tôt, il est attiré par la politique et il rejoint l'Alliance démocratique, un parti politique charnière, puisque au centre droit. Aux législatives d’avril 1914, il remporte le siège de député de Seine et Oise qu’il conserve jusqu’en 1924, avant de se faire élire dans le Territoire de Belfort de 1926 à 1936.

Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, il a 38 ans et il sert sur le front, comme capitaine des chasseurs à pied, de 1914 à 1916. Il est, un temps, agent de liaison de Foch, avant de rejoindre le Haut Commissariat général aux Affaires de guerre franco-américaines, en avril 1917. Il cumule alors des fonctions politiques, diplomatiques, économiques et financières. En 1918, Georges Clemenceau, président du conseil depuis un an, le fait revenir à Paris, à ses côtés. Il est l’un de ses principaux collaborateurs lors de la Conférence de paix qui aboutira, six mois plus tard, à la signature du traité de Versailles, le 28 juin 1919, avec l’Allemagne, puis, par la suite à celles des traités de Saint-Germain-en-Laye avec l'Autriche, de Trianon avec la Hongrie, de Neuilly avec la Bulgarie et de Sèvres avec l'Empire ottoman.

La trajectoire politique d’André Tardieu se retrouve provisoirement interrompue en 1920, lorsque « Le Tigre » est battu par Paul Deschanel à l’élection présidentielle. Quatre ans plus tard, lors de la victoire du Cartel des gauches, il perd son siège de député de l’Oise, détenu depuis dix ans. Sa « traversée du désert » ne dure que deux ans. En février 1926, il retrouve le chemin du Palais Bourbon en se faisant élire député du territoire de Belfort, tandis que le nouveau président du conseil, Raymond Poincaré, fait appel à lui au ministère de l’Intérieur. Il y reste du 11 novembre 1928 au 3 novembre 1929. C’est à ce moment que se situe sa rupture avec Clémenceau.

A la chute du cabinet Poincaré, il se retrouve président du Conseil des ministres. Entre le 3 novembre 1929 et le 10 mai 1932, il exerce cette fonction à trois reprises d’abord du 3 novembre 1929 au 17 février 1930, puis du 2 mars 1930 au 4 décembre 1930 et, enfin du 20 février 1932 au 10 mai 1932. Lors de ce troisième ministère Tardieu, il aura même à assumer avec son équipe l'intérim de Paul Doumer, le président de la république assassiné par le russe Gorguloff. Dans la suite des années 1930, son caractère et son image jugée « trop parisienne », le desservent. On se méfie aussi des nouveautés qu’il introduit dans les campagnes politiques, sur le modèle que suit Roosevelt, avec enregistrement et radiodiffusion de ses discours de campagne, interviews ou création d’émissions d’entretien à la radio. Des formules alors peu usitées en France. La gauche, y compris les radicaux, se montre particulièrement méfiante et critique à l’égard de l’homme.

Lorsque la crise économique de 1929 commence à faire ressentir ses effets en France, pendant sa première présidence du conseil, Tardieu, grand admirateur des États-Unis, tente de l’enrayer, après avoir longtemps imaginé que la « Vertu budgétaire » de la France la protégerait du mal. Reprenant les préceptes développés dans certains milieux patronaux des années 1920, il tente « de bâtir une société de consommation en France ». Secondé par Henry Chéron aux finances, il lance un « programme d'outillage industriel » avec la construction d’équipements publics et d’infrastructures routières, ferroviaires et portuaires, tout en développant le programme d’électrification des campagnes. Il cherche aussi à améliorer le sort des fonctionnaires et réévalue les pensions à la hausse. C’est aussi le moment où le Parlement lui impose la loi accordant à chaque ancien combattant une pension. Toutes ces mesures auront finalement un coût très lourd pour les finances publiques et le budget redeviendra déficitaires dans les derniers mois de sa 3ème présidence du conseil. Edouard Herriot lui succède le 3 juin 1932.

Redevenu simple député, il publie en 1934, La réforme de l'État, un véritable manifeste dans lequel il prône la réduction du nombre de partis politiques et un renforcement de l’exécutif, parallèlement au rétablissement du principe du referendum, tout en recourant, si nécessaire à la pratique de la dissolution. Certains y verront, non sans raison, une dérive autoritaire. Il crée alors son propre groupe parlementaire, le Centre républicain. Sous le Front populaire, ne s’étant pas représenté aux élections, il limite ses activités à une collaboration plus suivie avec les journaux « amis » dans lesquels il développe ses points de vue critiques à l’égard de Léon Blum et de ses successeurs. Il écrit notamment dans L’Echo National et dans la Liberté mais surtout dans L’Illustration qui lui ouvre largement ses colonnes, et dans Gringoire, l’hebdomadaire d’Horace de Carbuccia, en pointe dans le combat contre le Front populaire. Il complète la série de livres entamée avec La Paix (1921), Devant l'obstacle : L'Amérique et nous (1927), L'Epreuve du pouvoir (1931) et Devant le pays (1932). Il poursuit avec La réforme de l'État (1934) et L'Heure de la décision (1934). Enfin, il publie ses ultimes ouvrages : Sur la Pente, en 1935 et La révolution à refaire, en 1936-1937.

Ses dernières années sont marquées par la maladie. Le 22 juillet 1939, une attaque cérébrale le privera de toutes ses facultés, jusqu’à sa mort survenue le 15 septembre 1945 à Menton (Alpes-Maritimes) : « Pendant six ans, trop fier pour se montrer diminué, ermite volontaire, il vécut un martyre. Paralysé, il suivait la presse et pleura, le jour de la déclaration de guerre », écrit Horace de Carbuccia dans L’histoire de la presse française.

A consulter : François Monnet : Refaire la République : André Tardieu ou une dérive totalitaire (éditions Fayard, 1993).

THETARD Henry (1884-1968) Actif : 1943

Henry Thétard mène une carrière de journaliste, notamment au Petit Parisien, et est aussi dompteur de fauves et directeur de zoo lors de l'Exposition Coloniale de 1931. Il fondé le Club du cirque en 1949. Collaborateur occasionnel de L’Illustration, il publié deux articles au second semestre de 1943 : "Quels sont les animaux les plus dangereux à dresser ?" (16 octobre) et "Les meilleures gymnastes sont des Françaises" (27 novembre). Il consacre plusieurs ouvrages au monde du cirque et aux animaux, dont Coulisses et secrets du cirque (1933) et La merveilleuse histoire du cirque (1947).

THEURIET André (08/10/1833-23/04/1907) Actif : 1882

Poète et romancier français, André Theuriet écrit dans L’Illustration dans les années 1880, est né à Marly-le-Roi. Il fait paraître ses premiers vers en 1867, sous le titre Chemin des bois. Il publie ensuite des Nouvelles intimes et fait jouer Jean-Marie, un drame en vers (1871). De retour à la poésie, avec Bleu et noir, il se consacre ensuite essentiellement au roman et au théâtre, en s’inspirant de sa province, la Lorraine. Ce qui donne Mademoiselle Guignon (1874), Le mariage de Gérard (1875), La fortune d’Angèle (1876), Raymonde (1877) joué au Théâtre français, Le fils Maugars (1879), La maison des deux barbeaux (1879) joué à l’Odéon, Michel Verneuil (1883) et bien d’autres titres. En tout, il publie cinquante romans et fait jouer quatre pièces. Pour Philippe van Tieghem, « L’ensemble de son œuvre est hautement moral, sentimental et très délicatement réaliste. Ses vers valent surtout pour un intense sentiment de la nature, mais la forme reste mièvre ». André Theuriet est élu à l’Académie française le 10 décembre 1896, au fauteuil d’Alexandre Dumas fils.

TINAYRE Marcelle (08/10/1872-23/08/1948) Active : 1907-1942

Marguerite Suzanne Marcelle Chasteau, épouse Tinayre est née à Tulle. Elle épouse en 1889 le peintre et graveur Jean-Julien Tinayre (1860-1923) et elle mène une carrière de femme de lettres, à la production abondante, avec au moins une trentaine de titres. Ses premiers écrits publiés sont Avant l’amour (1897), La rançon (1898) et Hellé (1899) La maison du péché (1902) connut un succès prolongé et parut même audacieux. Selon Philippe van Tieghem, « La plupart de ses autres romans, entre 1904 et 1939, sont centrés sur le sort de la femme dans la société et proposent une émancipation qui n’exclut pas les droits du cœur ».

Marcelle Tinayre collabore à L’Illustration, qui publie plusieurs de ses textes dans La petite Illustration, à partir de 1907. Elle signe aussi des articles dans Le Temps, La Revue des deux mondes, La revue hebdomadaire, le Journal et La Revue de Paris. Marcelle Tinayre refuse la Légion d'honneur, déclarant qu’avec le ruban elle aurait « l’air d’une vieille cantinière ». Dans une étude sur le roman français du XXe siècle, Gonzague Truc écrit : « Si l’on jouait le jeu puéril où l’on s’amuse à rejoindre le présent au passé, c’est de nos grandes dames de lettres que l’on aimerait rapprocher Marcelle Tinayre qui vient ici à sa place d’une madame de Sablé, d’une madame de La Fayette, voire d’une madame de Sévigné. Elle a ainsi qu’elle la grâce, le bon ton, l’élégance. Elle est par la style, la conversation et la matière même de sa pensée de la même famille spirituelle ». De son côté, l’universitaire Gustave Lanson a loué, en son temps, « Son talent vigoureux et frémissant (qui) excelle à peindre la conscience de la femme d’aujourd’hui et tous les aspects des choses ». Marcelle Tinayre, dont le dernier article paru dans L’Illustration est "La femme doit-elle travailler ?" (28 mars 1942) est décédée à Grossouvre (Cher).

TINSEAU Léon de (20/04/1842-1921) Actif : 1886-1899

Le comte Léon de Tinseau a pour ancêtre paternel un gouverneur de la Cité libre et impériale de Besançon qui figurait parmi les parlementaires qui remirent les clefs de la cité à Louis XIV. Licencié en droit, il commence une carrière dans l’administration préfectorale entre 1871 et 1879. Léon de Tinseau est aussi un homme de lettres, qualifié parfois de « romancier mondain parisien ». Parmi sa production relativement abondante, on trouve Robert d’Epirieux (1882), La meilleure part (1882), couronné par l’académie française, L’attelage de la marquise (1885), Le secrétaire de Madame la duchesse (1904). Il signe des articles dans L’Illustration entre 1886 et 1899. Le magazine a également publié Bouche close, une nouvelle illustrée par Bayard, en février, mars, avril 1889.

TISSOT Victor (1845-1917) Actif : 1881-1882

Victor Tissot, journaliste, homme de lettres et voyageur, est né à Frinbourg. Il publie une importante suite d’articles illustrés sur "La Russie et les Russes : Les petites Russie". Il les réunit dans un livre intitulé La Russie et les Russes, impressions de voyages, ouvrage orné d'environ 250 compositions de Frédéric de Haenen et Pranischnikoff publié par Plon, Nourrit et Cie. La plupart de ses autres livres portent sur ses voyages : Voyage au pays des milliards (1875), Voyage au pays des Tziganes (1880), L’Allemagne amoureuse (1884), l’Afrique pittoresque (1887). Victor Tissot utilise parfois le pseudonyme de Colonel du Pâquier.

TISSANDIER Gaston (1843-1899) Actif : 1870-1890

Gaston Tissandier fait des études scientifiques au lycée Bonaparte, avec un intérêt marqué pour la physique et la chimie. Ses études achevées, il est admis comme préparateur dans un des laboratoires du Conservatoire des arts et métiers. A partir des années 1860, il s’intéresse à la navigation aérienne, en réalisant à Calais sa première ascension en ballon, en 1868. Une expérience qui aurait pu mal tourner, le vent l’ayant entraîné au large. Arrivé en pleine mer, grâce à un courant supérieur en sens contraire, il devait réussir à ramener l’aérostat à son point de départ.

Dès lors, avec son frère Albert, il travaille sur la circulation des ballons et il réalise une quarantaine d’ascensions, dont 4 pendant le siège de Paris en 1870-1871. Le 15 avril 1875, avec Le Zénith, en compagnie de Crocé-Spinelli et de Sivel, il atteint l’altitude de 8600 m. Ses deux compagnons mourront d’asphyxie tandis que Gaston Tissandier parvient à regagner le sol. De ces expériences, il cherche à informer le public en rédigeant des articles de vulgarisation scientifique que L’Illustration publie régulièrement. Les aérostats, la photographie et l’hygiène sont ses thèmes de prédilection. Gaston Tissandier avait aussi fondé sa propre revue, La nature, qu’il dirige jusqu’en 1897. Chevalier de la Légion d’honneur, il reçoit la grande médaille d’or de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale.

TOCHE François. Actif : 1930-1943

François Toché est un journaliste spécialiste de l’automobile, de la circulation routière et du code de la route, des thèmes auxquels il a consacré plusieurs ouvrages. Certains ont été publiés dans la Collection Baudry de Saunier, une des grandes plumes de L’Illustration (voir ce nom), dont il a été un très proche collaborateur.

Pour le magazine de René Baschet, il rédige des articles insérés dans les numéros spéciaux de l’automobile et du tourisme. En 1941, dans le n°5143 (4 octobre), le tout dernier consacré à l’automobile, il traite du "Cyclotourisme 1941", avec une douzaine de dessins de Géo Ham. Quelquefois, il s’écarte de son thème de prédilection. Ainsi, en 1943, il traite de "La cantine inter-usines" (6 février), et du "Centre d’abattage de Bressuire et son frigorifique" (20 mars), deux articles illustrés par Géo Ham. Après guerre, il poursuit sa carrière journalistique et éditoriale, avec différentes éditions actualisées du Code de la route. Il a également publié en 1947 Lourdes, cent illustrations rassemblées par François Toché, sur un texte de Paul-Emile Cadilhac.

Dates de naissance et de décès non connues.

TOM (pseudonyme) Actif : 1890

Tom est un pseudonyme utilisé par le ou les auteurs de la rubrique hebdomadaire "La société parisienne", qui apparaît dans les colonnes de L’Illustration dans les années 1890. Les thèmes traités sont des plus variés : "La chasse au tir aux environs de Paris", "La colonie américaine", "La vie au château", "Le monde financier", "La colonie anglaise", "La colonie espagnole".

TOMEL Guy (20/11/1855-16/05/1898) Actif : 1893

Guy Tomel, ancien professeur au collège d'Étampes, est né à Clermont-Ferrand. Journaliste, il est rédacteur au Journal des débats (1886-1898), tout en collaborant au Figaro et au Monde illustré. Il donne des articles à L’Illustration, comme "Les Prussiens ont-il incendié Saint-Cloud ?" (28 janvier 1893). Il est l’auteur de quelques livres : Les enfants en prison: études anecdotiques sur l'enfance criminelle (1891), Petits métiers parisiens (1898), Les Conscrits du travail et l'enseignement professionnel chrétien (1900), L’évadé de la Guyane (1902).

TOUDOUZE Georges Gustave (22/06/1877-04/01/1974) Actif : 1940-1944

Georges Gustave Toudouze est né à Paris. Il est le fils de l’écrivain Gustave Toudouze (1847-1904), collaborateur de L’Illustration, dans les années 1880. Après des études au lycée Condorcet, une licence en Lettres à la Sorbonne et un diplôme d’études supérieures d’histoire, il devient membre de l’Ecole française archéologique d’Athènes en 1901, deux ans après avoir fondé la Ligue maritime. De 1913 à 1945, il enseigne l’histoire du théâtre et du costume au Conservatoire national de musique et d’art dramatique. Il enseigne également l’histoire à l’Ecole des Hautes études sociales, à partir de 1946. La même année, il donne des cours de critique dramatique à l’école supérieure de journalisme.

Georges Toudouze publie une quarantaine de romans, une quinzaine de pièces de théâtre et près de cinquante titres consacrés à l’histoire, à l’archéologie et aux arts. Dans cette œuvre riche, émergent quelques grands thèmes comme le costume, le théâtre, la marine ou la Bretagne. La carrière de Georges Toudouze se prolongée dans la presse. Il signe des articles dans Le Monde Illustré, la Revue des deux mondes, Lectures pour tous ou la Revue des beaux arts. Dans L’Illustration, il donne des chroniques et des notices bibliographiques depuis l’entre-deux guerres et cette collaboration perdure sous l’Occupation.

En 1942, en tant que président de la Société de l’histoire du costume, il se penche sur "La mode et le costume de 1750 à nos jours" (2 mai). Le 29 août, il présente "Montfort-L’Amaury, terre bretonne en Ile-de-France". Dans le numéro du 3 octobre, il pose une question importante : "Existe-t-il un « âge de la retraite » pour les intellectuels ?" On trouve encore sa signature en 1943 avec "Le grand drame du pays albigeois au XIIIème siècle" (30 janvier), "Pantellaria, le « pare-chocs » de la Sicile" (6 février), "Défendons notre billet de banque !" (12 juin).
Au second semestre, il publie encore une dizaine d’articles, à dominantes littéraires, artistiques et historiques. Il demeure un membre actif de la rédaction en 1944, avec "La résurrection de Delphes, grande œuvre française" (11/18 mars), "Molière, sa fortune, sa garde-robe, son héritage" (8/15 avril), "Homère, poète religieux ?" (17/24 juin). Dans l’ultime numéro du 12/19 août, il évoque "La tradition nationale et le classicisme", à propos de l’année théâtrale 1944. Georges Toudouze, sociétaire de la société des gens de lettres, est commandeur de la Légion d’honneur. Il est aussi président de la société d’histoire du costume et membre de l’Académie de marine.

TOUDOUZE Gustave (19/05/1847-02/07/1904) Actif : 1886

Gustave Toudouze est un romancier particulièrement prolixe. Il débute sa carrière littéraire avec Octave en 1873, avant de publier une abondante série de romans, au rythme de un ou deux par an. Il collabore à L’Illustration dans les années 1880, tout comme son fils Georges-Gustave Toudouze

TOUCHSTONE S-F (pseudonyme de Georges des FARGES) Actif : 1891

S-F Touchstone est le pseudonyme de Georges des Farges, spécialiste des chevaux. Collaborateur occasionnel de L’Illustration, il publie un article sur "L’histoire du pari aux courses" (10 mai 1891), illustré de 9 dessins. Il signe aussi des commentaires de gravures, comme celui consacré au "Gagnant du grand prix de Paris" (13 juin 1891). Les livres qu’il publie sont tout naturellement centrés sur le cheval et les courses : Les Courses en France et à l'étranger. Tome Ier. Historique et organisation (1894), L'élevage du pur sang en France, guide pratique de l'éleveur, donnant des performances, les pedigrees et Les prix de saillie des étalons appartenant à l'État et aux particuliers.

Dates de naissance et de décès non connues.

TREMBIERES Jean. Actif : 1944

Collaborateur occasionnel de L’Illustration, il publie un article sur "Un vieux quartier de Paris adapté à la vie contemporaine" (29 janvier/5 février 1944).

Dates de naissance et de décès non connues.

Jean Paul Perrin